Ils nous parlent ... d’Héléna Dahl

Sa fille : Maman, elle est toute douce. C’est la plus belle du monde. Elle me raconte des histoires avec des voix rigolotes, j’adore ça. Elle dessine bien aussi. J’ai de la chance d’avoir atterri dans son ventre quand même.

L’homme de sa vie : Je suis le premier à l’encourager dans son rêve d’écriture. Lorsque j’ai appris qu’elle avait trouvé une maison d’édition où publier ses romans, j’ai sauté de joie. J’ai hâte qu’ils soient traduits en anglais ou, mieux, en suédois, pour pouvoir les lire enfin !

Sa maman : Mon petit poussin en a parcouru du chemin depuis qu’elle a quitté son nid parisien. Bruxelles lui a fait pousser des ailes littéraires, et ça lui va si bien. Prends ton envol à présent ma chérie !

Sa tête et son cœur : Quand elle écrit sur son carnet ou sur son ordinateur, ça nous fait pousser un ouf de soulagement. Heureusement qu’elle a trouvé un moyen de canaliser toute l’imagination qu’on partage avec elle, sinon, ça déborderait sérieusement.

Son papa : Comme moi, ma fille peint. Pas avec un pinceau, mais avec son stylo et ses mots. J’ai toujours su qu’elle suivrait un parcours artistique. C’est une sensibilité et un gène que l’on partage tous les deux ; j’en suis très fier. Parole de Papa.

Ses pieds et ses jambes : Elle nous fait trop bouger ! Et en plus, très vite. Non mais ! Bon ! Malgré tout, on n’ose pas se plaindre, parce qu’on sait que se défouler lui est indispensable. Et puis, de temps à autre, elle nous offre une séance de yoga pour nous soulager. Namasté !